Stockage : Lumaforge Jellyfish, une solution taillée pour Gunsmoke
Pour cet ancien graphiste flamiste qui confie « mettre toujours la main à la pâte » au Flame, il était absolument indispensable de se parer d’un outil accessible et paramétrable facilement : « la simplicité de mise en place plug’n’play, le paramétrage et l’interface de gestion de Jellyfish correspondent parfaitement à nos besoins, » souligne-t-il. C’est à une tour Jellyfish de 120 To soit 79 To utiles (extensible à 159 To utiles) que sont désormais raccordées les 5 stations de travail de Gunsmoke. Le Flame, bien sûr, le montage sur Premiere Pro et After Effect, l’étalonnage sur Davinci Resolve Studio, les 5 salles de Gunsmoke, déjà collaboratives dans l’esprit d’équipe, sont désormais collaboratives à travers un workflow simple et efficace : « on se retrouve avec une ergonomie compréhensible de tous pour gérer nos projets, » assure Hervé.
Gunsmoke mise avant tout sur le travail de l’image en interne, mais aussi avec les talents free-lance qui viennent remplir ses rangs au fil des ans. Ici, l’équipe privilégie l’humain et chacun estime depuis les premiers films de Gunsmoke en 2009, qu’une bonne entente et une bonne communication contribuent à tirer l’artistique et la narration vers le haut. « Nous avons toujours été habitués à faire tout nous-mêmes, conclut Hervé Thouement, cela explique peut-être notre attachement exacerbé au travail de l’image bien exécuté. »


 Quelles sont les possibilités de cette nouvelle application ? DaVinci Resolve pour iPad Pro permet d’ouvrir et créer des fichiers de projet DaVinci Resolve standard, compatibles avec la version Resolve 18. Les formats de fichiers pris en charge sont quant à eux H.264, H.265, Apple ProRes et Blackmagic RAW. Les clips peuvent être importés à partir du stockage interne de l’iPad Pro et de la bibliothèque Photos de la tablette, ou à partir de disques multimédias iCloud et USB-C connectés en externe. Notons au passage que DaVinci Resolve offre des performances de rendu Ultra HD ProRes 4 fois plus rapides sur le nouvel iPad Pro équipé du processeur M2. Toutefois, le HDR est aussi pris en charge pour les possesseurs d’un iPad Pro 12,9 pouces équipé la puce M1. Côté utilisation en mobilité, les utilisateurs peuvent envoyer une sortie de moniteur d’étalonnage vers un Apple Studio Display, un Pro Display XDR ou tout autre écran compatible AirPlay. Il est ainsi possible d’utiliser l’écran externe pour créer rapidement des étalonnages sur le plateau ou corriger des couleurs en postproduction directement depuis la tablette d’Apple…
Quelles sont les possibilités de cette nouvelle application ? DaVinci Resolve pour iPad Pro permet d’ouvrir et créer des fichiers de projet DaVinci Resolve standard, compatibles avec la version Resolve 18. Les formats de fichiers pris en charge sont quant à eux H.264, H.265, Apple ProRes et Blackmagic RAW. Les clips peuvent être importés à partir du stockage interne de l’iPad Pro et de la bibliothèque Photos de la tablette, ou à partir de disques multimédias iCloud et USB-C connectés en externe. Notons au passage que DaVinci Resolve offre des performances de rendu Ultra HD ProRes 4 fois plus rapides sur le nouvel iPad Pro équipé du processeur M2. Toutefois, le HDR est aussi pris en charge pour les possesseurs d’un iPad Pro 12,9 pouces équipé la puce M1. Côté utilisation en mobilité, les utilisateurs peuvent envoyer une sortie de moniteur d’étalonnage vers un Apple Studio Display, un Pro Display XDR ou tout autre écran compatible AirPlay. Il est ainsi possible d’utiliser l’écran externe pour créer rapidement des étalonnages sur le plateau ou corriger des couleurs en postproduction directement depuis la tablette d’Apple… Ainsi, la rédaction nationale de France Télévisions a pu assurer ses directs à partir de tous les lieux éditorialement pertinents malgré un réseau de téléphonie mobile surchargé, des contraintes de moyens satellitaires poussés à l’extrême et la volonté de maîtriser ses coûts de production. « Cette configuration TVU/Starlink nous a menés à la croisée des chemins d’un rendez-vous technologique et d’un événement historique, conclut Romuald Rat, avec la certitude d’être en mesure de servir sans faille notre public en nous concentrant pleinement sur la narration. Il est difficile de ne pas être très fier du travail accompli. »
Ainsi, la rédaction nationale de France Télévisions a pu assurer ses directs à partir de tous les lieux éditorialement pertinents malgré un réseau de téléphonie mobile surchargé, des contraintes de moyens satellitaires poussés à l’extrême et la volonté de maîtriser ses coûts de production. « Cette configuration TVU/Starlink nous a menés à la croisée des chemins d’un rendez-vous technologique et d’un événement historique, conclut Romuald Rat, avec la certitude d’être en mesure de servir sans faille notre public en nous concentrant pleinement sur la narration. Il est difficile de ne pas être très fier du travail accompli. »