Stockage : Lumaforge Jellyfish, une solution taillée pour Gunsmoke

Il y a deux mois, Gunsmoke est passée d’un simple réseau et de l’utilisation de disques amovibles vers une solution Jellyfish de Lumaforge. Un choix judicieux pour cette entreprise à taille humaine. Témoignage…
Fini les disques qui transitent de salle en salle. Gunsmoke, société de production et de postproduction spécialisée dans la stratégie, le conseil, et le contenu de marque en B2B et B2C vient de s’équiper d’une solution de stockage NAS LumaForge Jellyfish. « Même si durant des années nous avons su nous adapter à notre réseau interne pour partager nos projets, nous avons longtemps hésité avant de choisir un stockage centralisé adapté à nos besoins, » se rappelle Hervé Thouement, directeur associé en charge de la postproduction de Gunsmoke.
Simplicité et efficacité avant tout
Pour cet ancien graphiste flamiste qui confie « mettre toujours la main à la pâte » au Flame, il était absolument indispensable de se parer d’un outil accessible et paramétrable facilement : « la simplicité de mise en place plug’n’play, le paramétrage et l’interface de gestion de Jellyfish correspondent parfaitement à nos besoins, » souligne-t-il. C’est à une tour Jellyfish de 120 To soit 79 To utiles (extensible à 159 To utiles) que sont désormais raccordées les 5 stations de travail de Gunsmoke. Le Flame, bien sûr, le montage sur Premiere Pro et After Effect, l’étalonnage sur Davinci Resolve Studio, les 5 salles de Gunsmoke, déjà collaboratives dans l’esprit d’équipe, sont désormais collaboratives à travers un workflow simple et efficace : « on se retrouve avec une ergonomie compréhensible de tous pour gérer nos projets, » assure Hervé.
« Tirer l’artistique et la narration vers le haut »
Gunsmoke mise avant tout sur le travail de l’image en interne, mais aussi avec les talents free-lance qui viennent remplir ses rangs au fil des ans. Ici, l’équipe privilégie l’humain et chacun estime depuis les premiers films de Gunsmoke en 2009, qu’une bonne entente et une bonne communication contribuent à tirer l’artistique et la narration vers le haut. « Nous avons toujours été habitués à faire tout nous-mêmes, conclut Hervé Thouement, cela explique peut-être notre attachement exacerbé au travail de l’image bien exécuté. »