Distribution : Apantac commercialise le module récepteur SDM ST2110/IPMX

Apantac a annoncé au Satis la disponibilité en décembre de son très attendu module récepteur SDM-ST2110, présenté en avril au NabShow. Ce Smart Display Module est directement connectable au moniteur (format L). Il est doté d’une double interface 25 GbE, prend en charge les flux vidéo, audio et data ST2110 et IPMX ainsi que des protocoles NMOS. Il a par ailleurs été primé aux Trophées Satis 2025.

Prodigious unifie son stockage avec Qumulo

L’agence de production et de postproduction du groupe Publicis fait migrer son infrastructure de stockage pour plus de synergies, de souplesse et d’évolutivité. Explications…



« Nous étions arrivés aux limites de ce que pouvait offrir notre ancien système de stockage, lance Sam Le Gallic-Wolfson, CTO de Prodigious France, évoquant la conclusion de ses échanges avec ses collègues des filiales de New York et Londres, respectivement chez Harbor Pictures Company et Prodigious London. Avec notamment une saturation en matière de performance utilisateurs et de gestion multisite. Mais aussi surtout au regard du rapport performances/prix. »
De cette réflexion collégiale, il fallait donc trouver une solution de stockage qui puisse être déployée dans plusieurs régions, garantissant une homogénéité technique et facilitant les coopérations transnationales. Plusieurs technologies ont été étudiées avant qu’un consensus ne se porte sur le file system Qumulo. Sa nature « software-defined » laissant à chacune des entités Prodigious le choix des matériels, y compris, le cas échéant, une réutilisation de châssis déjà en exploitation.




Un système agnostique
Pour Antoine Staszewski, directeur technique de Prodigious en France, « cet aspect agnostique de Qumulo est un avantage au quotidien, pour ce qui concerne la gestion du hardware et les potentielles problématiques d’intervention, et bien sûr sa compatibilité avec les environnements cloud. Qumulo propose nativement des mécanismes de réplication vers des buckets S3, ce qui simplifie la création de workflows hybrides et la mise en place d’extensions de capacité dans le cloud visant à améliorer les collaborations entre l’Europe et les États-Unis. » Parmi d’autres aspects non négligeables en faveur de Qumulo, Sam Le Gallic-Wolfson souligne l’excellente réputation dont bénéficie la marque pour ses outils de monitoring « qui anticipent toute panne avant qu’elle ne devienne dommageable », et la réactivité de son département support : « En France, celui-ci est soutenu par Magic Hour, partenaire de longue date, qui distribue le produit et le connaît particulièrement bien. À New York et à Londres, mes collègues CTO s’appuient également sur des prestataires de choix à l’instar de Prodigious à Paris avec Magic Hour. »

Une bande passante confortable
C’est bien sûr au stockage chaud qu’est attribué le cluster Qumulo composé de quatre nodes de serveurs hybrides HDD/Flash totalisant 480 To utiles. « nous avons une marge confortable de bande passante pour les 50 postes dédiés au montage, à l’étalonnage, à la 3D/VFX (hors Flame qui possède sa propre architecture), au finishing… Et 50 autres postes dédiés à la visualisation et à la validation. » Prodigious compte également 800 To de stockage intermédiaire en plus de son stockage froid en LTO7.

Qumulo propose au téléchargement un livre blanc sur son architecture et sa technologie éponymes.

Sécurité tous azimuts
« Pour ce redéploiement, nous avons donc misé sur les performances, mais aussi sur la sécurité des données », explique Antoine Staszewski. Avec l’ajout d’une option de « security raise » et le QSR (Qumulo Secure Erasure Coding) : celle-ci permet de maintenir la redondance même en cas de perte complète d’un nœud. Le système réduit temporairement sa bande passante, mais continue de fonctionner, garantissant la continuité d’activité. « Mais pour aller plus loin en matière de sécurité, poursuit-il, nous avons confié à Magic Hour la mise en place d’un serveur TrueNas déporté dans un autre nodal de l’agence pour assurer via fibre noire la synchronisation de toutes nos données. » Dans le plus obscur des scénarios, Prodigious Paris peut ainsi opérer en un temps record un plan de reprise d’activité (PRA).

À l’aune de la migration qui devrait intervenir « dans les prochaines semaines », Prodigious a d’ores et déjà entrepris un travail de « nettoyage » et d’« optimisation » de son référentiel estimé à un pétaoctet de données actives, tâche à laquelle œuvre actuellement Antoine Staszewski à Paris. Et si Sam Le Gallic-Wolson et son directeur technique font montre de confiance pour migrer sans rupture de service, ils se montrent également sereins face à l’avenir de Prodigious avec Qumulo. À travers la sécurité et le support, mais aussi à travers l’évolution de l’infrastructure « qui bénéficie de possibilités d’upscaling en termes de capacité et de performances, et ce, pour un budget maîtrisé », conclut le CTO.


Home Studio : deux extensions signées OWC

OWC commercialise deux nouveaux produits à destination des indépendants travaillant en home studio ou structures souhaitant upgrader tout en maîtrisant les coûts…


Le premier, le Studio Stack est un module Thunderbolt 5 pour Mac Mini Studio qu’il vient booster en capacité et en performances selon les configs. Si le « boost » est optimal sur les versions M3 et M4 de 2025 en Thunderbolt 5, il apporte un gain de capacité sans perte de performances sur les Mac Mini Studio M1 et M2 Thunderbolt 4 et les plus anciennes versions en Thunderbolt 3. Côté stockage, il peut être porté à un total de 32 To en capacité hybride SSD NVMe de 8 To et HDD de 24 To. Enfin, côté connectivité, le Studio Stack compte trois ports Thunderbolt 5 (USB-C) 80 Gb/s et trois USB-A 10 Gb/s, compatibles Thunderbolt 5 et 4, USB4 et Mac Thunderbolt 3.




Seconde nouveauté OWC, le Mercury Helios 5S. Ce boîtier vise à ajouter un port pour carte PCIe 4.0 (demi-longueur, pleine hauteur, simple ou double largeur, hors GPU et carte supérieure à 75 W) aux Mac Mini, MacBook et autres portables. On pense notamment à l’ajout d’une carte de capture vidéo, fibre/Ethernet haut débit, NVMe Raid, audio I/O, etc., pour une bande passante interne de 6000 Mo/s en lecture/écriture simultanée. Côté connectivité, le boîtier propose trois ports Thunderbolt 5 (USB-C) 80 Gb/s, chacun offrant 15 W de puissance et une compatibilité Thunderbolt 5 et 4, USB4, et Mac Thunderbolt 3.

Update : du 4:4:4 12 bits & Dolby Atmos pour la glue Yellobrik

Lynx Technik AG propose au téléchargement une mise à jour firmware pour certains de ses modules Yellobrik et Serie 5000. Celle-ci vise le passage au 4:2:2 12 bits en plus des YCbCr 8 bits et 10 bits pour les modules convertisseurs CDH1411, CHD1412, CHD1402 et synchroniseurs de trame PVD1400, PVD5400O.
Côté modules embeddeurs/de-embedders audio, le nouveau firmware ajoute la prise en charge Dolby Digital Plus et Atmos JOC ainsi que des améliorations générales de stabilité. Pour ces derniers les modules concernés sont les PDM1484B, PDM1484D, PDM5248UODO, PDM5348O.
La mise à jour est disponible au téléchargement pour les appareils Yellobrik et Series 5000 compatibles en utilisant yelloGUI ou Lynx Centraal.

Satis 2025 : focus sur quatre conférences C.S.T.

Le 6 novembre dernier, le département broadcast de la Commission supérieure technique de l’image et du son organisait une série de tables rondes disponibles en replay sur son site cst.fr. Synthèse et morceaux choisis…

Normes et sous-titrages

Du très technique SMPTE ST2110-43, dédié au transport des sous-titres au format TTML dans des infrastructures IP 2110, à la création d’un groupe de travail planchant sur une recommandation RT-50 de la C.S.T. pour favoriser son interopérabilité et préciser ses usages (gestion du multilingue, format de timecode avec choix « begin/end » ou durée, stratégie de keep alive, styles autorisés, fréquence d’envoi, etc.), cette table ronde a exposé les problématiques des constructeurs et intégrateurs, mais aussi un cas concret d’utilisation multilingue des sous-titres côté diffuseur avec la présence de TV5 Monde dans le panel d’intervenants.


PAD et UHD HDR
Sur le versant du HDR, une autre table ronde permettait de considérer deux visions différentes du déploiement de l’UHD HDR et des exigences PAD respectives chez France Télévisions et Canal+.
Chez France Télévisions, la proposition ultra haute définition s’est concrétisée avec le lancement de la chaîne France 2 UHD, notamment à l’occasion des J.O. de Paris 2024. Et une stratégie HDR qui repose sur une approche pragmatique et accessible, en s’appuyant sur le HLG : un format qui évite la gestion complexe des métadonnées et s’intègre facilement dans les chaînes d’acquisition, de postproduction et de diffusion. Un choix qui permet d’assurer la cohérence visuelle et technique des programmes tout en maintenant une certaine « simplicité ». Pour l’audio, les PAD restent actuellement en stéréo, mais les expérimentations autour du 5.1.4, de l’audio description et du dialogue enhancement montrent la volonté d’aller vers le Next Generation Audio (NGA), avec un fort accent sur l’accessibilité.
Chez Canal+, la démarche s’inscrit quant à elle dans une logique de qualité cinéma : la chaîne mise sur le PQ (HDR10), avec une transition prévue vers le Dolby Vision et le Dolby Atmos pour une expérience plus immersive et cohérente avec l’ADN premium de la chaîne. Cette dernière diffuse déjà en HDR certains films, documentaires, compétitions sportives, et travaille à homogénéiser des workflows encore hétérogènes.
Pour les deux diffuseurs, la maîtrise de la conversion HDR SDR est également un enjeu central, notamment pour éviter la double livraison et garantir une qualité constante. Des deux côtés, on estime qu’un PAD unique et figé n’est pas réaliste : la diversité des formats (HLG, HDR10, Dolby Vision, HDR10+, Vivid, etc.) et des usages (linéaire, OTT, VOD) impose plutôt la création de « guidelines communes ».
De son côté, la C.S.T. accompagne ces travaux avec un glossaire HDR bilingue (français–anglais) et la mise en place de groupes de travail dédiés. L’idée étant de structurer une approche collective et favoriser l’interopérabilité entre diffuseurs, producteurs et prestataires techniques.

IPMX, le ST2110 simplifié
On connaissait le ST2110 pour le broadcast. Bienvenu dans le monde de l’IPMX, version « simplifiée » du ST2110 avec une table ronde lui étant dédiée. Outre les aspects techniques très détaillés de son fonctionnement (des profils définis [non compressé, JPEG XS, HEVC], prise en charge du 4:2:2 10 bits et du RGB 4:4:4 8 bits, PTP optionnel grâce au RTCP Sender Report, fonctionnement possible sans horloge centrale, et NMOS obligatoire, etc.), on y apprend qu’il présente un intérêt à être utilisé pour les écrans de régie et de plateau directement IP, murs Led, présentations PC, retours dans les stades, salles de réunion, loges, KVM sur IP…, et qu’il pourra cohabiter avec NDI, Dante AV, SDVoE, etc., tout en restant compatible avec un cœur 2110 existant. L’idée centrale est qu’il s’agit d’un standard ouvert, commun aux mondes broadcast, événementiel et corporate, en IP professionnel. Les premiers tests d’interopérabilité officiels IPMX devraient être organisés et coordonnés par l’EBU (UER) en janvier 2026 qui servira de plateforme neutre pour valider l’écosystème.

Local, cloud, Hybride ?
Passer des infrastructures locales traditionnelles vers des environnements virtualisés, hybrides et orchestrés dans le cloud, les modèles sont légions : IaaS / PaaS / SaaS, virtualisation des machines, montée en puissance des containers, et rôle central de l’orchestration, qui permet de chaîner des services variés (MAM, speech-to-text, IA, transcodage, etc.) situés dans différents clouds. Tous y sont passés en détail avec un rappel clé : le modèle économique du cloud. Le stockage coûte peu tant que l’on n’accède pas trop souvent aux fichiers ; dès qu’il y a récupération, les coûts peuvent dépasser ceux d’un stockage local. Ceci étant dit, côté business, on y apprend que le cloud est un outil stratégique avec la montée du direct-to-consumer, notamment avec l’explosion puis stabilisation des chaînes dites « Fast ». Certes, cette virtualisation, la 5G, les workflows distants et la baisse du coût du stockage permettent de nouveaux usages, mais attention : tous imposent à ses utilisateurs d’avoir une vision globale pour s’y investir. Des cas concrets sont exposés : chaînes sportives temporaires déployées en 20 jours, ou encore l’architecture hybride de la SSR (suisse), mêlant diffusion ST2110 on-premises et canaux événementiels générés dans le cloud. Avec au final le consensus suivant : l’avenir n’est ni tout-cloud, ni tout-local, mais résolument hybride, articulé autour d’une stratégie, d’une maîtrise des coûts et d’une solide montée en compétences des équipes. Et pour les différents acteurs, l’enjeu n’est plus de savoir s’il faut « passer au cloud », mais de dessiner une stratégie hybride en tirant les bénéfices de chacune des technologies.



Nomination : Magic Hour accueille Marc Jourdan au poste de directeur des opérations

Avec plus de vingt années d’expérience à la croisée du technique et du commercial, Marc a construit son parcours dans la vente et l’intégration de solutions informatiques complexes.
De technicien de terrain à ses débuts, il s’est ensuite tourné vers des fonctions technico-commerciales puis de direction commerciale, notamment chez Apy de 2021 à 2025, où il a contribué à développer des offres B2B à l’international.
Dans ses nouvelles fonctions chez Magic Hour, Marc a pour mission de développer et structurer une nouvelle gamme de produits assemblés en interne, comprenant PC, stations de travail, serveurs et NAS. Il s’appuie sur sa solide expérience en intégration de systèmes pour garantir des solutions parfaitement adaptées aux besoins des clients.
En tant que directeur des opérations, Marc joue par ailleurs un rôle clé dans la mise en place du CRM et le déploiement du site marchand Magic Hour. Il pilotera l’ensemble de la chaîne logistique — de la gestion fournisseurs à la livraison et au service après-vente — tout en optimisant les processus entre les équipes techniques et commerciales afin de renforcer l’efficacité opérationnelle et la qualité de service.

IBC 2025 : LTO-9 Unitex en direct sur Nas QNap & Jellyfish

Unitex présentait son lecteur LTO-9 attachable directement en USB-C (selon les protocole USB-C ou Thundebolt 3). Une connexion simple et rapide vers n’importe quel ordinateur pour une capacité d’archivage 18 To (45 To en mode compressé) par cartouche. L’année dernière, le constructeur japonais mettait en avant ses lecteurs pour les Nas QNap, aujourd’hui ceux-ci sont aussi reconnus par les Nas Jellyfish Nomad (OWC) pour effectuer des sauvegardes directes sur cartouches, toujours  via P5 Archiware.


IBC 2025 : Chyron full line-up

Sur le stand Chyron, on pouvait voir l’ensemble des solutions du constructeur, de la création graphique en temps réel, à l’intégration de données en passant par la diffusion. L’idée étant de démontrer comment ses outils peuvent s’inscrire dans des workflows intégrés.

La plateforme Prime (désormais en version 5.3) a occupé une place centrale, avec des démonstrations couvrant les incrustations graphiques, les murs d’images, le branding, les applications tactiles et la gestion des contenus pour sites événementiels via Click Effects.
Une nouveauté de la V5.3 a consisté en l’extension des capacités HTML5, permettant de gérer au sein du même environnement la production broadcast et Web. Annoncé cet été, Prime a également renforcé sa compatibilité avec les contenus créés dans Adobe After Effects et Illustrator, et introduit des outils pour accélérer la conception de scènes et améliorer les performances de diffusion.
Parmi les autres annonces, on compte Toolbox 4.0, qui permet d’intégrer des contenus PC et Web, ainsi qu’un nouveau module AXIS Maps visant à enrichir la narration news par des cartes en 3D, des modèles d’élévation et un support étendu de couches de données.
Direction Camio et ses améliorations, qui permet l’automatisation de la diffusion graphique à partir du système de newsroom NRCS. Les démonstrations ont montré la capacité à automatiser la mise à l’antenne d’incrustations, de contenus pour murs d’images, de plateaux virtuels et de segments météo, avec un déploiement possible à l’échelle de plusieurs stations via une architecture hub-and-spoke.
Enfin, l’entreprise a mis en avant des solutions reposant sur le cloud et l’intelligence artificielle, notamment Chyron Live, qui centralise la diffusion, la création graphique, le replay et la gestion des caméras dans une interface Web accessible à distance. Des fonctionnalités basées sur l’IA ont également été présentées pour simplifier certaines étapes de production, comme l’indexation ou l’adaptation des graphismes.

IBC 2025 : le meilleur de la restauration avec Lasergraphics et Cinetech UK

Sur le stand commun Cinetech UK / Lasergraphics, on retrouvait l’ensemble de la gamme des deux fabricants.


Chez Cineteck UK, on retrouvait l’essuyeuse films BSF Hydra Film Cleaner. L’entreprise britannique, qui montrait l’année dernière le prototype d’une nouvelle essuyeuse destinée à la bande magnétique du 1/4 de pouce jusqu’aux bandes 2 pouces, BSF Tape Cleaner, a annoncé que la version de série était désormais disponible sur commande. La BSF Tape Cleaner peut fonctionner selon un mode sec ou humide en fonction du format et l’état du support magnétique.
Côté film et côté scan, était bien évidemment exposée la ScanStation Lasergraphics 65 qui, comme son nom l’indique, scanne les films 65/70mm (jusqu’à 6,5K), tant pour les images inscrites verticalement pour ce qui concerne le 70, que pour celles inscrites horizontalement comme on pouvait le voir dès le milieu des années 50 sur le VistaVision Todd-AO, et toujours aujourd’hui en Imax. En plus des formats de fichiers ProRes et DPX, la Scanstation intègre les codecs lossless libres de droits tels que les FFV1 et Jpeg2000.
On retrouvait également le vaisseau amiral du constructeur, le Director, lequel est disponible en version 6.5 et 13.5K

IBC 2025 : Aximmetry Wizard, une aide pour déployer un studio virtuel

Une configuration pro sans la barrière technique. C’est ce que propose le nouvel outil Wizard d’Aximmetry aux possesseurs des licences Broadcast, Film et Studio. Wizard guide donc l’utilisateur à travers les étapes essentielles d’une configuration plus avancée, sans l’inonder d’options superflues.
Sur le chemin de la configuration, il pose des questions ciblées pour définir la portée du projet, suggère les modèles de studios virtuels les plus adaptés, et accompagne l’utilisateur uniquement sur les ajustements pertinents, qu’il s’agisse de configuration multicam, d’éclairage dynamique ou d’intégration d’objets 3D complexes. Exit donc les écueils ou le recourt systématique à un technicien expérimenté pour faire ses débuts…