Line-up IBC 2024 : 6 livres blancs Sony disponibles pour IBC

Pour vous préparer à IBC, Sony propose de consulter ses récents livres blancs visant à éclairer tout prescripteur sur la mise en place des opérations hybrides ou encore tirer parti du workflow orienté codec X-OCN… Six livres blancs sont actuellement disponibles sur le site du constructeur : Traitement et les opérations hybrides; « The Efficiency Edge » à la découverte de la 5G, de l’émetteur de données portable FP1 de Sony et des workflows cloud ; Comment être le premier à diffuser avec C3 Portal ; Outils de production virtuelle; Contenus de test X-OCN 8Ket le webinaire animé par Olivier Suard, VP marketing Nevion : La puissance du contrôle de diffusion.

Sur le stand, ce sera par ailleurs l’occasion de découvrir les derniers développements de la plateforme de gestion des médias Nevion VideoIPath et les dernières améliorations de la fonctionnalité de contrôle de diffusion avec VideoIPath Operate.

Côté moniteurs
Sony présentera en Europe son dernier monitoring de référence HDR 4K de 30,5 pouces, le BVM-HX3110 au côté des moniteurs de la gamme professionnelle Trimaster 4K PVM-X 18, 24 et 32 pouces, et la série LMD-A Full HD (LMD-A180). Leur point commun : la cohérence colorimétrique sur ces trois gammes.

Usage professionnel toujours, ce sera aussi l’occasion de découvrir l’écran Bravia 4K UHD HDR de 98 pouces (en plus des versions 55, 65, 75 et 85 pouces), le FW-98BZ53L, un produit dont le revêtement antireflet noir profond et angle de vision étendu, d’habitude impossible à obtenir simultanément, devrait séduire les postproducteurs les plus exigeants. Enfin, pour compléter la série Bravia, tournons-nous vers déclinaison Pro LCD, et la gamme EZ20L qui compte six modèles 4K de 43 à 85 pouces d’entrée de gamme pour les diffuseurs, et équipés des fonctionnalités pro de base : réglages simplifiés (installation et maintenance rationalisées), support RS-232C, contrôle IP standard, fonctionnement 16/7e et une luminosité de 350 nits.

Version finale DaVinci Resolve 19 : c’est parti !

Nous l’avions estimé pour IBC : Blackmagic Design vient d’annoncer la disponibilité de DaVinci Resolve 19 en version finale. Cette mise à jour ajoute la prise en charge de nouveaux outils d’IA avec le DaVinci Neural Engine et plus de 100 améliorations de fonctionnalités, y compris de nouvelles palettes d’étalonnage des couleurs et Resolve FX, le panoramique audio Fairlight alimenté par l’IA, des outils USD élargis, le montage multisources et la rotoscopie dans Fusion.

On note également une amélioration du workflow de transcription pour les monteurs. DaVinci Resolve Studio inclut également de nouveaux outils d’IA, notamment IntelliTrack AI et ColorSlice pour l’étalonnage des couleurs. Enfin, cette version prend en charge DaVinci Resolve Replay, la synchronisation en direct des médias pour le montage pendant que la caméra tourne, ainsi que la nouvelle application Organizations dans le Blackmagic Cloud.

Paris 2024 & élections britanniques, brillant été pour TVU Networks

Couverture du parcours de la flamme olympique, élections législatives en Grande-Bretagne… L’été fut riche pour TVU Networks et sa plateforme de production cloud. L’entreprise américaine organise un retour d’expérience complet sur son stand le samedi 14 septembre à 10h30 en compagnie d’intervenants de France Télévisions et de la BBC.

France Télévisions reviendra sur l’exploitation de la technologie cloud signée TVU, la 5G privée, Starlink et les drones qui ont fait partie du dispositif avec l’ambition réussie de minimiser ses coût de production.
Pour la BBC, 369 flux simultanés en direct à partir des lieux de dépouillement des votes à travers le Royaume-Uni ont été capturés à l’aide de l’application mobile TVU Anywhere.

 

 

Line-up IBC 2024 : Chyron, optimisations sans compromission

Chyron présentera les nouvelles capacités graphiques basées sur des données, et ses améliorations orientées contrôle de diffusion dans son univers Prime, ainsi que de nouveaux développements dans le cloud.

Dans un communiqué, Alain Polgar, VP en charge des ventes Europe, Moyen-Orient et Asie-Pacifique, dresse le constat que « les diffuseurs doivent desservir plus de canaux avec moins de ressources » dans une industrie des médias qui « traverse une période de volatilité et d’incertitude ».
De cette analyse, il souligne que Chyron a adapté ses solutions et optimisé les workflows pour permettre aux clients de la marque de rationaliser leur processus de production et de distribution avec un coût total d’investissement prévisible tout au long du cycle d’utilisation, et ce « sans compromettre la qualité des graphiques ».
Côté line-up, Chyron montrera un nouveau flux de travail de diffusion simplifié tout en offrant un meilleur contrôle sur les types de données affichées dans les graphiques en direct, notamment au travers des récentes versions de Prime lesquelles incluent des fonctionnalités issues de collaborations avec ses clients, dont NBC Sports.
Chyron présentera par ailleurs Prime VSAR (Virtual Set Augmented Reality) qui passe de la version 4 à la version 5 d’Unreal Engine, et ses outils dédiés à la publicité virtuelle à l’écran.
Enfin, côté mises à jour sport en direct, l’entreprise inclut des améliorations sur Paint (son replay illustré) avec notamment des capacités UHD/4K et un nouveau module de playlist visant à s’affranchir d’un serveur de replay, ainsi que de nouveaux outils de téléstration.

Line-up IBC 2024 : Ateliere présentera Connect AI et Ateliere Live

Direction le stand d’Ateliere Creative Technology pour découvrir ce que l’éditeur logiciel considère comme la première solution de chaîne d’approvisionnement média end-to-end basée sur l’intelligence artificielle générative.

Avec Connect AI, l’éditeur américain entend faire la différence entre IA prédictive conventionnelle et machine learning. Une IA plus sophistiquée, plus intelligente et davantage apte à être performante sur les tâches automatisées, dixit Ateliere. L’objectif étant d’améliorer la capacité de sa plateforme à gérer les étapes courantes du workflow au regard de l’ingest, la gestion, la distribution et la monétisation de contenus. Connect AI s’inscrit en tant qu’amélioration optionnelle d’Ateliere Connect. Sur la supply chain, cette option promet d’anticiper les tendances du marché à travers à une prise de décision améliorée, estime Ateliere. La plateforme identifie rapidement le contenu prêt pour la distribution, garantissant qu’il atteint les plateformes mondiales efficacement avec tous les contrôles nécessaires, de l’organisation des stocks à l’enrichissement des métadonnées, à la livraison de contenu et à la monétisation.

Parallèlement, Ateliere dévoilera Ateliere Live, sa nouvelle plateforme de production et d’édition cloud au sein de laquelle montage, mixage, habillage et effets sont intégrés et diffusés vers différents canaux : broadcast, mais aussi les RS tels que Twitch, TikTok, Youtube… Sa promesse : abaisser les coûts de production jusqu’à -70 %.

Filière cinéma & patrimoine : HD Systems, du tournage à la restauration

Le laboratoire cinéma de la rue du Landy à Aubervilliers internalise depuis avril la préparation des supports et le scan. Focus sur un des pionniers du tournage cinéma numérique et de sa maîtrise de l’émulsion éponyme, du tournage et la gestion des rushes, en passant par l’étalonnage et la restauration… 

Dans le monde des labos, les trois associés de HD Systems, Nicolas Pollacchi, PDG de LoumaSystems, Olivier Garcia, DIT et coloriste, et Hervé Theys, directeur technique, tous anciens de Panavision-Alga, font partie de ceux qui ont accompagné les tournages cinéma dans leur transition vers le numérique au début des années 2000, dans le marché naissant des premières caméras HD, dont la Sony F900 HDCam SR, puis sa version « panavisée », première de la série des CineAlta. Une époque où les seuls 5 diaphs de dynamique et une sensibilité accrue dans les basses lumières demandait une expertise technique vidéo pour délivrer des images conformes au parti pris artistique des directeurs de la photographie.
Chez HD Systems, Olivier Garcia, aujourd’hui étalonneur, fait partie de ces ingénieurs vision devenus à l’époque digital imaging technician (DIT), maillon essentiel de la prise de vue jusqu’à la gestion des rushes. De ses connaissances des caméras broadcast chez « Pana », il a su pousser dans leurs retranchements les capteurs CCD de la F900, en doublant leur dynamique et en définissant de nouvelles courbes adaptées aux tournages cinéma, notamment au sein de Deux Frères (2004) de Jean-Jacques Annaud mis en lumière par Jean-Marie Dreujou (AFC), long-métrage hybride 35 et Sony F900 panavisée avec optiques Primo, Dogara de Patrice Leconte (2002), Bismarck (2002) de James Cameron ou encore Océans de Jacques Perrin (2009)…
Objectif premium
« Auparavant département de LoumaSystems, HD Systems est devenue une entité à part entière en amont des tournages de Wolf Totem (2015) de Jean-Jacques Annaud et Les Saisons (2015) de Jacques Perrin », raconte Olivier Gracia. Des tournages longs et exigeants dont les rushes furent traités en même temps et pour lesquels il fut nécessaire de former des techniciens pour gérer quelques 400 à 500 heures d’images par film. « De par nos expériences et notre exigence, nous avions une vision premium du laboratoire numérique, raconte Nicolas Pollacchi, pour le traitement des signaux, mais aussi pour le visionnage des rushes, l’étalonnage, le visionnage et le rendu final… »

Plus qu’une simple LUT…
Pour ces spécialistes de l’« émulsion numérique » qui ont mis au point leur outil interne breveté, le Cinecrystal 65, « plus qu’une LUT, mais un tricube offrant jusqu’à 65 millions de nuances de couleurs », souligne Olivier Garcia, les travaux de restauration haut de gamme sont venus remplir dès l’année 2020 le carnet de commandes de l’entreprise. « Avec trois longs-métrages de Jean Delannoy dont les scans furent effectués chez VDM sur Lasergraphics Director et traité par nos soins sur Diamant, Resolve et nos outils internes, suivis des titres de Cea Films, maison de production de Salvatore Piccioto. »
Ce sont ensuite enchaînées des œuvres comme Le Roi de Paris avec Philippe Noiret de Dominique Maillet (1995) dont une première restauration 2K n’avait pas satisfait le réalisateur : « nous l’avons refaite à partir des suites DPX brutes », commente Olivier Garcia. Puis vint La Fille sur le pont de Patrice Leconte (1999), et Le Peuple migrateur de Jacques Perrin, Jacques Cluzaud, et Michel Debats (2001). Et si jusqu’à présent HD Systems confiait l’essuyage et les scans à des laboratoires tiers, le labo s’est offert cette année la ligne de restauration qu’il lui manquait, à savoir la nettoyeuse-essuyeuse et le scan 4K.

Essuyage Cinetech UK & Scan Cintel
« Nous avons bâti notre salle d’étalonnage DaVinci Resolve autour d’un projecteur Sony 4K alimenté en quadlink, » résume Olivier Garcia. Pour cette image de 5 mètres de base réputée pour sa calibration, la salle de HDSystems s’inscrit comme un lieu de référence Sony CineAlta. Et de ce couple Sony DaVinci Resolve associé à la création de DCP, le parti pris technique fut d’opter pour un scanner 4K 12 bits plutôt que 10 bits log : « ce qui importe à nos yeux c’est la quantification, rappelle le spécialiste. Et de préciser : 12 bits est la quantification d’un DCP. Pour nous, scanner un film en 10 bits log pour créer in fine un DCP 12 bits revient à perdre des valeurs et créer des paliers, si infimes soient-ils. »
Un ensemble de tests a ainsi permis à HD Systems de confirmer son choix du Cintel G3 HDR+ et ses nouveaux capteurs, en plus de la compatibilité qu’il offre avec Resolve. « Dès septembre, les négatifs montés de quatre longs-métrages, vont être entièrement traités chez nous, annonce-t-il. Trois films oscarisés produits par Galatée Films, et 13 Tzameti, un film en scope N & B réalisé par Gela Babluani, récompensé en 2005 à la Mostra de Venise et à Sundance. »

13 Tzameti de Gela Babluani, une restauration 4K attendue.


Et pour préparer au mieux tous les travaux, le labo numérique a fait l’acquisition d’une nettoyeuse-essuyeuse BSF Hydra du britannique Cinetech. « Nous nous étions rendu compte qu’un double essuyage effectué à l’extérieur, n’était jamais assez satisfaisant, confie Olivier Garcia et les essais que nous avons faits avec la Cinetech ont été bluffants au point que les films polyester retrouvent souvent le brillant de leur jeunesse. » Pour lui, cette nouvelle essuyeuse « représente une avancée par rapport à celles que l’on retrouve un peu chez tout le monde, vieillissantes de surcroît » et affirme retirer jusqu’à 98 % des poussières en une seule passe.

HD Systems est le premier laboratoire français à disposer de la nettoyeuse-essuyeuse de film Cinetech BSF Hydra. Au centre une station DaVinci Resolve et son Mini Panel dédiée à l’acquisition des images provenant du scan 4K Cintel G3 HDR+ (à dr.)…

« C’est une machine extrêmement bien pensée, avec le sens du détail, estime-t-il. De l’usinage des pièces digne d’un travail d’orfèvre jusqu’aux fonctions de réglages fins : l’ajustement précis de la pression et l’orientation des tampons de nettoyage, de séchage… Facile de prise en main, avec d’ores et déjà une soixantaine de bobines traitées, nous avons expérimenté beaucoup de cas de figure. »

C’est sans oublier certains négatifs qui ne sont pas sortis de leur boîte depuis 40 ans. « Sur les pellicules fragilisées, explique Olivier Garcia, la Cinetech montre son efficacité avec les réglages de tension du film, dont une fonction anti-perruquage très efficace. Et surtout la possibilité de programmer des allers-retours automatiques ingénieux pour systématiser un double essuyage et repartir pour un nouveau cycle de traitement à l’Isopar. »
Pour l’heure, avec la maîtrise de toute la chaîne de restauration, HD Systems entend demeurer sur son credo du traitement qualitatif et se « tenir à distance de la politique du flux, » insiste Nicolas Pollacchi. « Nous maintenons le cap du premium, des prétraitements à la finalisation pour consacrer le temps nécessaire à la restauration de chaque œuvre du patrimoine cinématographique qui nous sera confiée. »

Magic Hour complète son offre dédiée à la filière films avec Cinetech UK Ltd

Concentré d’innovation, l’essuyeuse-nettoyeuse de films BSF Hydra Clean de Cinetech UK s’insère parfaitement dans la chaîne de traitement des supports film avant restauration. Revue de détails…

« Jusqu’à présent, le nettoyage et l’essuyage automatisé de films étaient le chaînon manquant de notre offre globale dédiée à la restauration films, résume Jean-François Ferriol, cofondateur de Magic Hour en charge de ce segment d’activité. Avec l’arrivée de Cinetech dans notre portefeuille, nous pouvons désormais répondre à 100% des problématiques de la filière de la conservation du patrimoine audiovisuel. » Si le nettoyage mécanique fait parti des tâches automatisées des premiers traitements après l’inspection manuelle des supports, les laboratoires photochimiques et spécialistes de la restauration sont confrontés à des incertitudes au regard de la maintenance de leurs tireuses pour les uns, et essuyeuses pour les autres, dont l’obtention de pièces de rechange peut aujourd’hui relever du parcours du combattant.

Faible impact environnemental
Se posent également, notamment pour les essuyeuses, des questions à la fois sanitaires et environnementales. « De ce point de vue, estime Jean-François Ferriol, il semblait nécessaire de bannir certains produits et de rechercher des alternatives mieux-disantes au regard de l’impact sur l’environnement, mais aussi sur la santé des utilisateurs. » Une spécificité qui correspond parfaitement au choix de Cinetech UK et son essuyeuse BSF Hydra Clean et l’usage du solvant Isopar qui se distingue à ce jour comme la meilleure voie pour le traitement des films photochimiques. Parmi ses avantages, citons son excellent pouvoir de nettoyage, un coût réduit associé à une faible évaporation. On l’oppose aujourd’hui au HFE et ses performances moindres et ses risques inflammables et de dessèchement des supports traités à l’isopropanol (alcool isopropylique). Côté préoccupations environnementales et sanitaires, l’Isopar se situe très loin des risques liés au perchloroéthylène, carcinogène notoire de surcroît. Bref, alors que l’Isopar s’occupe de l’efficacité en toute sécurité, les ingénieurs de Cinetech UK ont mis au point une action mécanique qui agit avec ce qu’il faut de ce solvant, c’est-à-dire peu. Comment ? « À travers une série de tampons de Dacron agissant sans immersion du film, de l’imprégnation jusqu’au séchage du support, explique Jean-François Ferriol, à l’aide d’un entraînement effectué par des galets sprocketless conduisant le film vers une douzaine de rouleaux de transfert de particules vibrant par ultrasons. »

Pilotage logiciel
Derrière cette action mécanique se cache le cerveau de la BSF Hydra Clean pour traiter les 8, 16 et 35 mm, mais aussi le 65/70 mm (option spécifique à la commande) : un contrôle numérique via écran tactile avec journalisation des données, diagnostics à distance, et mises à jour logicielles. « Cette interface donne un accès complet aux réglages, précise Jean-François, tels que la vitesse du rouleau de transfert de solvant, la vitesse du rouleau applicateur de solvant, la vitesse de séchage et bien sûr la tension du film et sa distance de contact avec les tampons. » En fonction des valeurs sélectionnées, les moteurs pas-à-pas (entraînement direct) de la BSF Hydra Clean permettent un traitement jusqu’à 30 mètres de film par minute depuis des bobines de 640 mètres maximum. Le logiciel interne, basé sur un modèle prédictif analyse l’ensemble des réglages pour garantir un enroulement constant et uniforme. « Nous sommes bien loin des essuyeuses purement mécaniques d’antan qui tendent à disparaître. La BSF Hydra Clean s’impose de fait pour assurer la relève sur un marché de niche si utile à la filière, » conclut Jean-François Ferriol.

Filière restauration/archives de A à Z

Magic Hour, c’est aujourd’hui une couverture complète de la filière restauration/archives. Avec Cinetech UK pour la préparation des supports, les scans tous formats avec Lasergraphics sur le segment haut de gamme et Cintel sur le segment intermédiaire, mais aussi les outils de traitements images – dont notamment les solutions de restauration numériques Diamant-Film de HS-Art et DRS Nova de MTI Film —, sans oublier les structures de stockage et espaces de travail online et offline hautes capacités, solutions d’indexation et d’achivage avec Archiware, et les librairies LTO de toutes tailles Quantum, mais aussi les librairies légères du japonais Unitex.

Paris 2024 : Magic Hour propose un forfait location de packs TVU avec data illimitées pour toute la durée des J.O.

À l’occasion des Jeux olympiques de Paris 2024, Magic Hour propose une offre de location exceptionnelle baptisée TVU One Jeux olympiques. Cette offre comprend le pack de transmission TVU Networks pour toute la durée de l’événement sportif accompagné d’un forfait data illimité en 4G et 5G, et bien sûr l’assistance et le support Magic Hour. Les diffuseurs, agences de presse et médias indépendants peuvent d’ores et déjà réserver leur(s) pack(s) en contactant par mail Magic Hour à info@magic-h.com ou en cliquant ici.

La flamme olympique de Marseille à Paris avec TVU Networks

Depuis son arrivée dans le port de la cité phocéenne, la flame olympique peut être suivie en direct chaque jour depuis le 8 mai sur la plateforme France.Tv jusqu’à l’ouverture des Jeux, à Paris, le 26 juillet prochain.


Pour assurer 10 heures de direct quotidien réalisées par deux équipes totalisant 8 caméras sur le terrain (épaule, drone, iPhone), France Télévisions s’appuie sur des moyens de contribution assurés par la plateforme 4/5G/cloud de TVU Networks (dont ses services d’intercom et de commentaires intégrés) sur une infrastructure Amazon Web Services.
Afin fournir une 5G tout au long du parcours, le diffuseur fait appel au service de réseau 5G privé développé par TDF dont le principe est de créer une cellule indépendante du réseau cellulaire traditionnel. C’est un véhicule relais se déplaçant au rythme du parcours de la torche olympique qui permet à ce service d’assurer de la redondance réseau, mais aussi de pallier les zones blanches et trous de réseau notamment à travers une connexion Starlink. Selon France Télévisions, ce réseau privé est en mesure de fournir un uplink d’environ 500 Mbits/s agrégeant tous les réseaux pour des latences mesurées entre 50 et 80 ms.

Le nouveau Trimaster BVM-HX3110 au centre d’une démo en conditions réelles

Un an plus tôt, Sony présentait le prototype de son dernier moniteur de référence HDR 4K de 30,5 pouces, le BVM-HX3110. Présenté en version commerciale au NAB 2024, c’est lors d’une démonstration post-NAB assurée par Christophe Pitre, expert moniteurs professionnels chez Sony et organisée chez Magic Hour le 24 avril dernier, que le moniteur de référence haut de gamme a déployé tous ses atouts au sein d’un workflow 4K architecturé autour de Davinci Resolve.

Une démonstration animée par Christophe Pitre, expert moniteurs professionnels Sony.

Le panel de prescripteurs présent a pu constater dans des conditions réelles d’exploitation, d’une part les performances du BVM-H3110 au sein d’un workflow d’étalonnage, et d’autre part la cohérence colorimétrique de l’ensemble de la gamme professionnelle avec les moniteurs Sony Trimaster 4K PVM-X2400 et le «tout terrain» LMD-A180, sans oublier le prédécesseur du BVM-HX3110, le BVM-HX310, toujours au catalogue du constructeur.
À partir de sources 4K HDR PQ, il a été montré l’avantage lié à la possibilité d’atteindre une luminance de 4000 nits (4000 cd/m2). Notons par ailleurs, le Trimaster BVM-HX3110 est doté d’un angle de vision élargi et compte en standard une interface IP ST2110 en phase avec l’environnement Networked Live Sony. Parmi ses outils standards, citons la visualisation de forme d’onde/étendue vectorielle (WF/VS), les fausses couleurs, l’assistance à la mise au point, le sous-titrage codé, le traitement de la table de conversion 3D et les modes de visualisation quad et côte à côte. Des licences optionnelles sont proposées pour accéder à la prise en charge de JPEG-XS ainsi qu’au protocole de gestion de réseau simple (SNMP). D’autres licences optionnelles permettent d’utiliser des outils tels que la conversion HDR/SDR et une sortie de signal 3D LUT ou encore un nouveau mode de réponse rapide des pixels pour réduire le flou de mouvement.